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Μάθημα : Μάθημα επιλογής (1025) Oι ιδιωτισμοί στη διδασκαλία της γαλλικής ως ξένης γλώσσας και στη μετάφραση

Κωδικός : FRL249

Μάθημα επιλογής (1025) Oι ιδιωτισμοί στη διδασκαλία της γαλλικής ως ξένης γλώσσας και στη μετάφραση

FRL249  -  Αργυρώ Μουστάκη

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θέμα εξέτασης Σεπτ 2021  (έχει λήξει

Cérémonie d’hommage à Jean-Paul Belmondo : “Il était de la famille

Cécile Marchand Ménard

Publié le 09/09/21

Emmanuel Macron rendant hommage à Jean-Paul Belmondo, ce 9 septembre, aux Invalides.

Ludovic MARIN / AFP

Ce jeudi après-midi, la cour d’honneur des Invalides a accueilli l’hommage national au comédien, auquel Emmanuel Macron a rendu un éloge. Malgré un protocole millimétré, plusieurs centaines de fans et d’invités ont pu adresser un dernier adieu touchant et humain au “Magnifique”.

« Jean-Paul Belmondo a bercé mon enfance de son humour, sa prestance, sa façon d’être à l’écran. Je suis venu lui rendre un dernier hommage », sourit Stéphane, en tête de la file d’attente qui s’allonge doucement devant les Invalides, ce jeudi 9 septembre. Pour ce fan, arrivé dès 7 heures du matin de Jouy-le-Mourtier (Val d’Oise), il était impensable de ne pas être présent dans la cour d’honneur pour l’hommage national rendu à l’acteur, décédé ce lundi à l’âge de 88 ans.

CHOISISSEZ 5 PARMI LES 6 EXPRESSIONS FIGÉES PROPOSÉES

Έναρξη: 16/9/21, 12:00 μ.μ.
Λήξη: 16/9/21, 1:45 μ.μ.
SUJET D'EXAMEN POUR LOCUTEURS FRANCOPHONES session janvier/février 2021 (cliquez ici pour ouvrir)  (έχει λήξει)

Un chien errant, Le Chien, rêve et plonge dans ses souvenirs... qu'il raconte. Il a perdu sa mère adoptive et cherche désespérément une maîtresse. En la cherchant, il arrive en ville où il manque de se faire renverser par une voiture et où un gentil boucher prend sa défense et le nourrit... mais il finit par se fait attraper par la fourrière...

CHOISISSEZ ET COMMENTEZ 5 PARMI LES 6 EXPRESSIONS FIGÉES PROPOSÉES

 - Si tu vas en ville dit-elle, fais attention aux voitures ... […]

On ne reste pas sur le lieu du malheur, pensait Le Chien. On s’en va. Mais il se disait en même temps : “Je ne serai plus jamais aussi heureux qu’ici”. […]

“Pourquoi m’a-t-elle parlé de la ville ?» se demandait Le Chien dans ses larmes.

[…] D’accord, Gueule Noire, promit-il, j’irai en ville, et je trouverai une maîtresse.

[…] C’était une très grande ville. Pleine de maisons, de voitures, d’habitants et de touristes. C’était Nice. […] Il était assis sur le trottoir. Il regardait le boucher sur le trottoir d’en face. La salive lui coulait sur les pattes. Quelle odeur ! Quelle viande ! Et quelle faim ! […] Il fonça bien en avant, mais, à peine se trouva-t-il au milieu de la rue qu’un tas d’événements terrifiants se produisirent en même temps. […] Et il y eut un hurlement. C’étaient les pneus de la voiture qui démarrait. La voiture qui avait failli écraser Le Chien.

Maintenant le boucher le tenait à bout de bras et le regardait droit dans les yeux.

Et toi, qui es-tu ? D’où viengs-tu ? Comment tu t’appelles ? T’es pas joli joli, dis donc! Tu as faimg ? […]

Voilà ! Le boucher lui avait donné un os magnifique, encore recouvert de viande. Il l’avait laissé le ronger tranquillement, sur la sciure, au beau milieu de la boucherie. […]

- Bon, qu’est-ce que tu fais ? Tu restes ou tu t’en vas ?

Le Chien s’était approché de lui. Ce n’était pas un maître qu’il cherchait, c’était une maîtresse. […] De la patte, il gratta le rideau de fer ondulé.

- Ah ! Tu t’en vas ? Bon. Et being ! Va mener ta vie, va […] “Mais ne vas pas te faire écraser, hé ? Que ça te serve de leçon !”. […]

[…] Il se réveilla avec le soleil. C’est une habitude qu’il devait d’ailleurs toujours conserver : se lever tôt […] pour sauter sur la première occasion.

[…] La ville faisait sa toilette matinale. C’est que c’était une ville de touristes. Une ville qui se devait d’être “présentable” comme disait son maire. Tirée à quatre épingles même. Nettoyée, astiquée et fleurie chaque matin.

- Ma parole, ils font la guerre aux odeurs ici ! marmonnait Le Chien. […] Il n’entendit pas s’approcher la camionnette grise. Il faut dire qu’elle ne faisait aucun bruit. Elle le suivait depuis un certain temps, moteur coupé, silencieuse comme un brochet. Et aussi dangereuse. Bref, il ne l’entendit pas. Quand le filet s’abattit sur lui, il était trop tard. […] Le Chien mordit la main. Mais elle était couverte d’un épais gant de cuir. Une porte de fer s’ouvrit. On jeta Le Chien dans un trou noir. […] Le chauffeur remit le moteur en marche.

- Alors tu t’es fait avoir, toi aussi ? fit une voix dans l’obscurité.

                                                                                                               Daniel Pennac, Cabot-Caboche, 1994, Nathan, Pocket junior

Έναρξη: 2/2/21, 6:05 μ.μ.
Λήξη: 2/2/21, 7:40 μ.μ.
θέμα εξέτασης Ιαν/Φεβ 2021 (πατήστε εδώ για να ανοίξει το θέμα εξέτασης/cliquez ici pour ouvrir le sujet d'examen)  (έχει λήξει

Στο απόσπασμα αυτό έχετε την ιστορία ενός αδέσποτου σκύλου, ο οποίος αφού γλίτωσε τον πνιγμό και έχασε από ατύχημα σε μια χωματερή τη θετή του μάνα-σκύλο, είναι σε αναζήτηση ενός αφεντικού. Για το λόγο αυτό φτάνει μέχρι μια πόλη της Νότιας Γαλλίας, πεινασμένος, όπου γνωρίζει έναν ευγενικό χασάπη που του λέει να προσέχει. Όμως  τελικά τον πιάνει ο μπόγιας.

Συμβουλή: Mπορείτε να μη διαβάσετε όλο το κείμενο, αλλά, να ανατρέξετε στο ευρύτερο συγκείμενο, αν χρειαστεί, για να καταλάβετε την παγιωμένη έκφραση.

AΠΟ ΤΙΣ 6 ΠΡΟΤΕΙΝΟΜΕΝΕΣ ΠΑΓΙΩΜΕΝΕΣ ΕΚΦΡΑΣΕΙΣ, ΕΠΙΛΕΓΕΤΕ ΚΑΙ ΣΧΟΛΙΑΖΕΤΕ 5.

 - Si tu vas en ville dit-elle, fais attention aux voitures ... […]

On ne reste pas sur le lieu du malheur, pensait Le Chien. On s’en va. Mais il se disait en même temps : “Je ne serai plus jamais aussi heureux qu’ici”. […]

“Pourquoi m’a-t-elle parlé de la ville ?» se demandait Le Chien dans ses larmes.

[…] D’accord, Gueule Noire, promit-il, j’irai en ville, et je trouverai une maîtresse.

[…] C’était une très grande ville. Pleine de maisons, de voitures, d’habitants et de touristes. C’était Nice. […] Il était assis sur le trottoir. Il regardait le boucher sur le trottoir d’en face. La salive lui coulait sur les pattes. Quelle odeur ! Quelle viande ! Et quelle faim ! […] Il fonça bien en avant, mais, à peine se trouva-t-il au milieu de la rue qu’un tas d’événements terrifiants se produisirent en même temps. […] Et il y eut un hurlement. C’étaient les pneus de la voiture qui démarrait. La voiture qui avait failli écraser Le Chien.

Maintenant le boucher le tenait à bout de bras et le regardait droit dans les yeux.

Et toi, qui es-tu ? D’où viengs-tu ? Comment tu t’appelles ? T’es pas joli joli, dis donc! Tu as faimg ? […]

Voilà ! Le boucher lui avait donné un os magnifique, encore recouvert de viande. Il l’avait laissé le ronger tranquillement, sur la sciure, au beau milieu de la boucherie. […]

- Bon, qu’est-ce que tu fais ? Tu restes ou tu t’en vas ?

Le Chien s’était approché de lui. Ce n’était pas un maître qu’il cherchait, c’était une maîtresse. […] De la patte, il gratta le rideau de fer ondulé.

- Ah ! Tu t’en vas ? Bon. Et being ! Va mener ta vie, va […] “Mais ne vas pas te faire écraser, hé ? Que ça te serve de leçon !”. […]

[…] Il se réveilla avec le soleil. C’est une habitude qu’il devait d’ailleurs toujours conserver : se lever tôt […] pour sauter sur la première occasion.

[…] La ville faisait sa toilette matinale. C’est que c’était une ville de touristes. Une ville qui se devait d’être “présentable” comme disait son maire. Tirée à quatre épingles même. Nettoyée, astiquée et fleurie chaque matin.

- Ma parole, ils font la guerre aux odeurs ici ! marmonnait Le Chien. […] Il n’entendit pas s’approcher la camionnette grise. Il faut dire qu’elle ne faisait aucun bruit. Elle le suivait depuis un certain temps, moteur coupé, silencieuse comme un brochet. Et aussi dangereuse. Bref, il ne l’entendit pas. Quand le filet s’abattit sur lui, il était trop tard. […] Le Chien mordit la main. Mais elle était couverte d’un épais gant de cuir. Une porte de fer s’ouvrit. On jeta Le Chien dans un trou noir. […] Le chauffeur remit le moteur en marche.

- Alors tu t’es fait avoir, toi aussi ? fit une voix dans l’obscurité.

                                                                                                               Daniel Pennac, Cabot-Caboche, 1994, Nathan, Pocket junior

Έναρξη: 2/2/21, 6:00 μ.μ.
Λήξη: 2/2/21, 7:35 μ.μ.